History-lOove

An_Epic_LoVe<3

Vendredi 11 juin 2010 à 20:11



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Bonjour, bienvenue ici !! ^^

Je ne sais pas comment vous êtes tombé sur cette page mais j'espère que vous ne repartirez pas de sitôt !! :)

Très bien passons aux choses sérieuses. Voilà le résumé de mon histoire.

Une jeune fille nommée Charlène est un jour confronté à une décision prise par ses parents. Cette décision tant redoutée lui fera découvrir un lieu magique dans lequel sentiment, coup de gueule, tristesse ou encore amour et surprise sont au rendez-vous. Alors comment terminera cette histoire et comment réagira Charlène à toutes ces situations plus ou moins impossibles auxquelles elle sera confrontée.

Vous voulez le savoir? J'en suis ravie et je vous laisse dès à présent découvrir le premier chapitre.

J'espère que ça vous plaira. Laissez des commentaires. :D:D

Sur ce très bonne lecture...

Vendredi 11 juin 2010 à 20:12

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CHAPITRE I

L'annonce

 

Si vous lisez ces quelques lignes, c'est que vous venez de pénétrer dans mon univers. N'ayez pas peur, je ne vous ferais rien. Continuer de parcourir ce roman que je vous raconte mon incroyable histoire.

 

Le lundi suivant mes 15 ans mes parents m'avaient annoncés que pour les vacances prochaines, ils m'avaient inscrite en colonie. Malheureusement ceux-ci ne savaient pas à quel point je détestais cela et cette semaine de vacances allait se transformer en véritable cauchemar. Enfin dû moins je le croyait à ce moment là.

 

J'avais les colonies de vacances en horreur depuis déjà longtemps. Une ancienne amie appelée Christelle m'avait raconté durant mon jeune âge qu'elle était partie elle aussi en colonie et que ça avait été désastreux. Elle ne m'avait pas épargnée et m'avait raconté tous les détails. Apparemment durant son séjour elle s'était retrouvée au fin fond de l'univers, dans un endroit pitoyable. Elle et ses camarades étaient tous rassemblés dans une unique pièce, leurs lits étaient tellement petit que leurs pieds dépassaient et le couvre feu sonnait à 19 heures tapantes tous les soirs. Il leur était bien entendu interdit football, plage et soirée. Ils avaient à cette époque tous entre 8 et 13 ans, ils étaient encore jeunes mais feu de camp, jeux collectives, et toutes activités amusantes étaient absentes du programme. A la place, ramasser du bois, faire la cuisine et chanter des chansons stupides étaient prévus. De plus la pitoyable bicoque se trouvait loin de tout ainsi shopping, sortie, toutes activités indispensables pour de bonnes vacances, étaient impossibles. Leurs journées se résumaient à pêcher, couper du bois, marcher, marcher et encore marcher et pour finir préparer le repas pour leurs "animateurs". Ils devaient également par la suite préparer leur propre repas avec ce qu'ils avaient récupéré durant la journée, sinon ils ne mangeaient guère. Le soir venu, ils se couchaient à l'heure indiquée et si un seul ne respectait pas le règlement tous devaient courir une demi-heure dans la forêt aux milieux de créatures plus étranges les une que les autres. C’étaient un exercice vraiment terrifiant du point de vue de mon amie. 

 

Ce jour là, le récit de Christelle terminé, j'étais restée figée sur place durant 10 bonnes minutes. Ce qu'elle m'avait raconté m'avait tout bonnement terrorisée, je n'étais alors âgé que d'une dizaine d'années et ces propos sont restés gravés et me perturbent encore aujourd'hui. C'est le pourquoi de ma "phobie" envers les colonies. Je suis angoissée à l'idée de partir loin de mon petit monde pour me retrouver comme mon amie, dans un endroit épouvantable.

Alors, vos avis ??? Laissez des comm's !! :)

Vendredi 11 juin 2010 à 20:13

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CHAPITRE II

L'Attente

 

Les vacances étaient pour dans deux semaines. Je ne m'étais pas confiée à mes parents sur ses angoisses permanentes à propos de ce séjour en colonie. Désormais depuis l'annonce que ceux-ci m'avait faîte, chaque nuits j'étais hantée par de terribles cauchemars, je m'imaginais un lieu encore plus atroce que celui que m'avait décrit mon amie. Le matin je prenais le chemin de l'école et pour la première fois celle-ci me rendait plus joyeuse que les vacances qui m'attendaient. Pour la première fois de mon existence la seule pensée d'être enfin en vacances m'effrayait.

 

Et puis le jour de mon départ arriva. La veille je n'avais rien mangé, tant mon estomac était noué. Je n'osais même pas m'endormir de peur de revivre encore une fois ces affreuses images qui me hantaient. Ce soir là mes parents m'avaient également appris que je partais pour 3 semaine et non une comme je l'imaginais jusqu'alors. C'en était fini pour moi, ce séjour allait être le plus long et le plus horrible de toute ma vie.

 

Je préparais ma valise avec une lenteur extrême ; réfléchissant à toutes situations possibles : Si je me retrouvais enfermée ou bien attachée... Ainsi ma valise contenait plus d'éléments de survie que de vêtement, ce que je n'aurais jamais crût auparavant.

 

L'heure fatidique arriva. J'étais prête à partir, enfin façon de parler. Mon père m'amena à la gare où mon train, le numéro 23, devait m'attendre. La destination de mon séjour m'étais alors encore inconnue ce qui m'angoissait davantage. Mon père me confia mon billet et m'embrassa en me souhaitant joyeusement un bon séjour. Il me demanda de lui promettre que je passerais de bonnes vacances. Ne voulant pas l'inquiéter avec mes soucis je lui promis ce qu'il me demandait et défendis de la voiture échangeant un dernier sourira.

 

Je me précipitais alors au quai indiqué sur mon billet et attendit le train. J'avais une intense envie de m'enfuir mais je devinais que mon père devait me guetter discrètement dans sa voiture encore garée sur le parking. Je me résolus donc à patienter tranquillement et ne voulant plus attendre je sortir le billet de sa pochette pour découvrir le lieu de ma destination. Mes parents voulant me faire la surprise m'avait fait promettre d'attendre d'être dans le train pour découvrir la fameuse destination. J'avais un peu trichée mais après tout si cela pouvait me rassurer, je ne commettais aucun crime et mes parents me le pardonneraient. Donc c'est tout de même avec un peu d'appréhension que j’aperçus où le train allait me conduire. Je constatai avec surprise qu'il s'agissait d'un lieu paradisiaque. En effet j'avais toujours rêvé de me rendre là-bas. Mes parents m'en avait vaguement parlé, mais c'est surtout avec ma grand-mère que j''avais échangé des tonnes de discutions passionnantes sur cet endroit. Il s'agissait d'une région charmante, dans le sud de la France et prénommée St Chopin Lamacq. Je sais le nom n'est pas formidable mais j'ai découvert des photos de ce lieu extraordinaire et je rêve depuis d'y aller. J'étais soudain soulagée et apaisé. Je devenais presque impatiente à l'idée de prendre le train et en oublia les horreurs sur les colos qui m'avaient jadis tourmentées.

J'espère que ça vous plaît toujours.... ^^ Laisser vos comm's !

Vendredi 11 juin 2010 à 20:14

 CHAPITRE III

Le Train

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J'étais plongée dans mes pensées depuis quelques temps quand je devinai une grande masse imposante apparaître devant mes yeux. Il s'agissait sans aucun doute du fameux train que je devais emprunter. Je relevai la tête et attrapa mes bagages. Ceux-ci en mains je me sentis ridicule en repensant à ce que j'avais emporté. Qu'allais-je bien pouvoir faire de tout cela maintenant. Enfin bref je trouverais une solution plus tard me dis-je. J'étais un peu maladroite c'est pour cela que je montai avec une grande prudence dans le gigantesque véhicule. Je souris en repensant que petite je m'étais retrouvée une jambe dans le plâtre suite à une chute dans les escaliers d'un autocar. Il n''y avait qu'à moi qu'il arrivait ce genre de choses. La voix d'une personne qui me priait de me déplacer pour la laisser passer me fit revenir à la réalité. Voyant que je ne réagissais pas à ces propos cette personne me bouscula afin de se frayer un passage. Une fois devant moi, j'aperçus cet être bousculard qui m'avait fais mal aux pieds en me bousculant. Il continuait d'avancer dans aucune réaction, ni même excuse. Quand soudain alors que je n'attendais plus il se retourna. Et oui il, une fois face à moi je pouvais distinguer son visage. Cet homme, pour moi, jusqu'ici qu'un simple grossier et impoli personnage, m'apparût alors comme magnifique.

 

Ses yeux étaient d'un bleu intense, son visage était parfait tout chez lui était parfait excepté peut-être son comportement. Donc je disais, IL se retourna vers moi et alors que j'entrevis l'espoir de recevoir des excuses celui-ci ne fit que me dévisager et me lança subitement " faudrait peut-être bouger tes fesses, tu bloques le passage là" J'en fus scandaliser. Ces propos m'avaient terriblement blessé. C'en était maintenant certain. Ce garçon avait beau être extrêmement beau je ne pouvais vraiment pas m'entendre avec lui. Désormais rien que le voir m'irritais. Je ne trouvais rien à répondre tellement je fus choquer et le laissa donc s'en aller sans riposter. Cela avait dû sûrement l'amuser, je n'avais jamais pu supporter ce genre de gars. Ceux qui ne réussissent à s'amuser qu'en insultant d'autres pauvres victimes. Et cette fois malheureusement j'avais été la victime. Je décidais de ne plus penser à ce honteux petit moment et sortit mon billet de ma poche pour voir à quelle place je devais me rendre. Ma cabine étais située non loin d'où je me trouvais il ne me fallut donc pas beaucoup de temps avant d'atteindre ma place.

 

Le compartiment était vide. Je m'installais confortablement au fond de mon siège et entrepris de sortir un livre que j'avais emporté. Et oui, j'avais aussi emportés quelques affaires utiles. J'étais plongée au cœur de mon bouquin c'est pourquoi je ne m’aperçus pas immédiatement de la présence d'un individu en face de moi. J'en fus consciente seulement lorsque celui-ci se mit à mâcher massivement son chewing-gum ce qui eut pour conséquence de m'irriter fortement. J'avais pour objectif de lui demander de cesser quand je me figeais. Ma gorge se noua et pour cause l'individu présent devant moi semblait être le pitoyable personnage de tout à l'heure. Je devais rêver. Je n'avais rien fait pour mériter cela. Je relevais la tête légèrement et le scruta. Il semblait ne pas m'avoir encore reconnue. Tant mieux pour moi. Ainsi pour ne pas à avoir à me confronter à lui je replongeais innocemment au cœur de mon ouvrage et essaya de faire abstractions des bruits incessants de chemin gum mâché. Le temps semblait s'être stoppé. Je ne parvenais plus à me concentrer et seul le goujat qui me faisait face attirait mon attention. Ce n’était pas normal. Je connaissais cet homme depuis peu mais déjà je le haïssais, mais d'une façon surprenante puisque je ne pouvais m'empêcher de poser mon regard sur lui. Par bonheur lui ne faisait pas attention à moi et je pouvais sans gène continuer de le contempler secrètement.

 

Quelques instants passèrent et une nouvelle personne pénétra dans la cabine. C’était un vieux monsieur, probablement âgé d'une soixantaine d'années. Il nous salua poliment moi et l'énergumène posté près de moi. A ma grande surprise celui-ci fit preuve d'une grande politesse en aidant le vieux monsieur qui semblait avoir du mal à s'asseoir. Le vieil homme le remercia et se présenta comme André Delporte. S'adressant également à moi je me pressentis donc à mon tour et avoua m'appelé Charlène. Je découvris aussi le nom de l'homme qu'avais fait de moi la victime de ses moqueries. Il se prénommait Edgard Plènozas. Il était sans aucun doute très fortuné et je m’interrogeais alors si c'étais pour cela qu'il se permettait un tel comportement. Je m'apprêtais à en avoir le cœur net en l'interrogeant, je quittais donc mon bouquin des yeux et me posta vers lui. Mes paroles n'eurent pas le temps de quitter leur antre qu’elles furent interrompues par le jeune homme. Celui-ci, devant son expression à la fois curieuse et ravie, je devinais qu'il venait de me reconnaître et j'en eus la confirmation quand il lança " Eh ! C'est toi la stupide nana qui bouchait le passage 'taleur" Je fus une nouvelle fois à cours de mots et replongea, honteuse, tout droit au cœur de mon bouquin sans oublier qu'il fallait absolument que je fasse disparaitre cet air malheureux qui s'étais inscrit sur mon visage. Ce lourdaud d'Edgard ne devait certainement pas comprendre que ses propos m'avaient blessé. Il n'en saurait que trop heureux et je me refusais de lui accorder cet instant de joie.

 

Vendredi 11 juin 2010 à 22:50

Attention voilà la suite .... ^^

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CHAPITRE IV

SA Destination

 

Le vieux monsieur devinant une ambiance tendue chercha tant bien que mal à calmer l'atmosphère sans vraiment y arriver. Je m'étais remise de mes émotions et fixais désormais Edgard avec de grands yeux noirs. S’il me cherchait il allait me trouver. Ce que je désirais arriva, le play-boy entama la conversation. Il me demanda d'abord gentiment d'où je venais. Je n'étais pas stupide et je ne céderais pas aussi facilement à de bonnes paroles. Ce qu'il avait prononcé auparavant je m'en étais remise mais je n'étais pas prête de l'oublier et je décidais donc, pour bien lui montrer mon mécontentement, de l'ignorer et ainsi je restais silencieuse. Ca n'avait pas l'air de lui plaire. Monsieur ne devait pas souvent rencontrer d'opposition à ce qu'il désirait. Il sembla réfléchir un moment et se mit à sourire. J'en avais assez, il se mettait à me narguer désormais, s'en étais trop. Je lui lançais "Pourquoi tu souris comme ça, imbécile ?"

_Je savoure ma réussite. Lâcha-t-il simplement.

Sur le moment je ne compris pas le sens de ces mots.

Je coucouais la tête, pour lui montrer à quel point il m'horripilait. Cet Edgard Penzias est vraiment détestable pensais-je.

 

Il me scruta durant plusieurs secondes avant de déclarer : 

" désormais je vais t'appeler Charlie. Je trouve que ça te va bien.

_ Je m'appelle Charlène. Objectais-je.

_ Ouais, mais moi je préfère Charlie.

 

Le fait qu'il me donne un surnom, m'intrigua encore plus. Que cherchais-t-il vraiment ? Je n'arriverais véritablement pas à cerner ce mystérieux garçons tellement intriguant, séduisant mais surtout détestable.

 

Le silence s'était imposer et je sentais le regard d'Edgard poser sur moi. Cela me gênait terriblement. Soudain un bruit l'interrompit. C’était le service du train qui apportait des boissons. Edgard en commanda DEUX.

 

Il m'observa et tendit une main chargé d'un des verres vers moi. C'était le meilleur, il m'offrait à boire maintenant. J'acceptais. Je ne voulais pas aggraver la situation qui était déjà très périeuse. Je me concentrais sur se verre qu'il m'avait offert et m'interrogeait sur sa signification. Etait-ce un gage de paix ? Interrompant mes interrogations je bu le contenue du verre et le déposa sur la petite tablette près de mon siège. Edgard scrutait tout mes fais et gestes, ça en devenait agaçant. Curieuse d'en savoir un peu plus sur ce garçon qui m'apparaissait pour le moment plus agréable qu'auparavant, j'entrepris de l'interroger sur sa présence dans ce train. Il m'ignora complètement et pour seule réponse je n'eus le droit qu'à un "ha, qu'elle curieuse cette Charlie" C'étais tout, il ne prendrait même pas la peine de me répondre, cette fois c'étais finis je ne parlerais plus à cet être détestable. Je m'en fis la promesse.

 

A mon grand bonheur, on vînt le chercher pour cause, un coup de fil l'attendait. Il se leva et sortit, un papier tomba aussitôt de sa poche. Je ne voulais pas le ramasser, cela aurait montré mon intérêt pour cet individu. Je restais donc sagement à ma place. Me mordant la lèvre, regardant ailleurs, j'essayais tant bien que mal de ne pas céder à la tentation. Je ne pouvais plus attendre, ma curiosité l'emporta et ma main plongea récupérer le petit bout de papier étendu sur le sol. Si j'avais voulu être discrète, c'était raté. Le vieux bonhomme me dévisagea mais je l’ignorai toute mon attention était reporté sur l'objet emprisonner dans ma main. Je le dépliai soigneusement et reconnut un paysage familier. Je n'en crusse pas mes yeux. Tous les indices concordaient. D'abord il avait pris le même train que moi, ensuite il avait approximativement le même âge que moi et enfin il possédait dans sa poche une photo de cette endroit merveilleux qu'étais St Chropin Lamacq. Maintenant j'en étais persuader, il se rendait dans la même colonie que moi. Le séjour risquait d'être surprenant.

J'espère que çà vous à plu... bientôt la suite !! ^^ 

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