History-lOove

An_Epic_LoVe<3

Vendredi 11 juin 2010 à 23:02

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CHAPITRE V

La Prise de Distance

 

Il revînt quelques minutes plus tard. Le temps avait semblé affreusement long sans sa présence. Je m'étais jurer de ne jamais lui reparler mais j'en étais incapable. Il était si intriguant et me l'avouant à moitié je dois dire qu'une petite part de moi était attirée par lui. Bien sûr il était adieux, méchant parfois mais ne pouvais-je pas lui pardonner. Il fallait que j'en apprenne davantage sur cet Edgard.

 

Celui-ci arrivé dans le compartiment, se rasseyait devant moi mais ne me scrutait plus comme auparavant. Non, cette fois son regard était plongé par la vitre. Il semblait soucieux. Qu'avait bien put être ce coup de fil ? Ne supportant plus cet affreux silence, je décidais de le rompre et demanda gentiment au jeune garçon si tout allais bien. Il se tourna alors vers moi et d'un regard atroce il lança "Fous moi la paix toi, pauvre fille." Bien sûr je n'avais pas compris se soudain énervement à mon encontre. Tous ce que j'avais pris alors pour un jeu, s'avérait réel, cet Edgard me détestait vraiment et ces moqueries n'étaient surement pas une façon pour lui de s'amuser. Au bord des larmes je lui répondis immédiatement "si je t'importune autant, je préfère m'en aller." Et je partis en courant. Seulement ce que je n'avais pas vu c'est ce geste qu'il effectua comme si il voulait me retenir.

 

Je m'enfuyais donc dans mon coin, pour souffrir seule. Je ne voulais pas qu'il voit à qu'elle point j'étais pennée. Seulement, je ne comprenais pas ce que j'avais bien pu faire pour qu'il me déteste ainsi. Je n'arrivais vraiment pas à trouver des raisons valables. Je décidais qu'il fallait mieux que je n'y retourne pas et je restai prostrée, seule sur le sol dans le couloir. J'étais épuisée. Cette rencontre m'avait épuisée. Je m'étendis sur le sol et m'endormis.

 

La position n'était pas très confortable et les courbatures furent au rendez-vous. C'est mal en point et encore extrêmement fatigué que je me réveillais, quand je sentis une douce odeur de chocolat chaud. J'avais toujours adoré le chocolat chaud. Je tentai tant bien que mal de me remettre debout et regardai aux alentours cherchant d'où provenait l'agréable odeur. Je fus soulagée quand après avoir regardé un peu partout mon regard tomba sur l'horloge du train et que je m’aperçus qu'il ne me restait plus qu'une heure à attendre avant d'arriver à destination. Par ailleurs je n'avais pas réussi à déceler d'où provenait l'alléchante substance mais je laissai tomber et jeta un coup d'œil dans le compartiment. Le vieil n'étais pas là, sans doute étais-t-il descendu à un précédent arrêt. Il devait maintenant me prendre pour une folle, après m'avoir vu étendu sur le sol comme je l'étais il y a quelques instants. C'est également ce que devais penser toutes les personnes présentes dans le train. Mon cas était désespéré mais je m'en fichais. Tout ce qui m'importait maintenant c'était de comprendre pourquoi Edgard avant été si distant la veille avec moi.

Vendredi 11 juin 2010 à 23:20

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CHAPITRE VI

L'autre aspect

 

J'abaissai lentement ma main sur la poignée de la porte de la cabine, et la poussai légèrement. Un faible bruit retentit à mes oreilles mais je restais discrète. Je me faufilai à l'intérieur du compartiment. Lentement je rejoignis ma place et m'installa face à lui. Je le contemplais sans peine puisque celui-ci dormait encore. Il était si séduisant quand son masque de Play boy tombait et que j'apercevais son vrai visage. Un homme apaisé et splendide. Mon regard ne pouvait quitter cet être magnifique, j'en oubliais presque que j'étais sensé le détester pour tout ce qu'il m'avait fait endurer. Tout cela n'existait plus une fois mon esprit envahit par cette beauté. Je sais la beauté ne fais pas tout, etc.... Mais là, je devais me l'avouer, j'étais tombée sous le charme.

Je l'admirais en silence depuis ce qui semblait une éternité quand ma contemplation fut interrompue par un furtif geste de sa part. Il semblait s'être réveillé et je détournai aussitôt mon regard. Comme si de rien n'était je me replongeais dans mon livre, encore ouvert suite à ces nombreux événements. Edgard s'étira vivement et souriant il se tourna vers moi.

"_Tiens, te revoilà Charlie."

"_Et oui me revoilà, crétin." Lançais-je sans pouvoir m'en empêcher. Cet Edgard hantait mes pensée mais à chaque fois que celui-ci m'adressait la parole, je n’arrivais pas à lui répondre sans l'envoyer balader. C'était une sorte de protection, après tout je n'étais pas prête d'oublier tout ce qu'il m'avait dit la veille.

_"Je vois que tu es encore fâchée pour hier." Déduis-t-il. Et à ma grande surprise, me lançant un regard tellement intense, il s'excusa. Je ne répondis pas immédiatement, trop choqué pour m'exprimer. Je n'avais pas l'habitude d'entendre le jeune garçon s'excuser, je croyais même que c'étais impossible pour lui. Mais ces excuses me rendaient si heureuse, peut être m'étais-je encore trompée sur son compte, et certainement qu'il devait être gentil finalement sans quoi il n'aurait pu s'excuser. Peut-être m'appréciait-il enfin de compte et regrettais ces parole tantôt prononcées. Je relevai donc la tête et lui répondis que je ne pardonnais pas facilement. Il semblait déçu mais continua tout de même de tenter de me faire changer d'avis et me questionna gentiment sur moi. La discussion devenait intéressante et j'en appris également davantage sur lui. Il venait d'une ville située à l'Est de la France et était enfant unique. Je m'interrogeais toujours sur le coup de fil d'hier mais ne voulant pas réagraver la situation qui s'était apaisé je décidais de ne pas m'étendre sur le sujet. On resta là, longtemps, discutant de tout et n'importe quoi. Durant cette longue conversation j'avais découvert un autre aspect d'Edgard. Je découvrais un garçon sympathique et très intéressant caché derrière ses airs de mauvais garçon. J'appréciais discuter avec lui. Néanmoins il restait distant sur le sujet principal qui m’intéressait : LUI. Il avait esquivé bon nombre de mes questions mais je ne n'insistais pas et nous enchainions sur un autre sujet.

 

Soudain, le train se stoppa. C'était la fin de mon périple en train. L'heure de mon arrêt avait retentit. Le temps était passé tellement vite en compagnie d'Edgard. Avant de descendre je me rappelais notre rencontre si brutale. Et je ne comprenais toujours pas comment j'avais fait pour finir par m'entendre avec lui mais maintenant j'étais heureuse de l'entente naissante entre nous. C'est avec le sourire que je quittai le train.

 


Samedi 12 juin 2010 à 12:27

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CHAPITRE VII

L'Arrivée

 

J'ouvris grand mes yeux quand mes pieds foulèrent le sol de St Chropin Lamacq, pour la première fois. C'était comme sur les photos, l'endroit était magnifique. Edgard se trouvais derrière moi et s'appuya sur mes épaules pour effectuer un saut en descendant du train. Je souris, il ferait vraiment n'importe quoi pour se faire remarquer. J'étais bien contente qu'il eut pris le train avec moi car seule à l'arrivée, j'aurais un peu paniqué.

 

Je regardais tout autour de moi et aperçut un car qui nous attendait pour rejoindre le lieu dit. J'attrapai ma valise et entreprit de rejoindre le bus. Edgard me suivit et nous arrivâmes ensemble au véhicule. Avant de monter dans celui-ci je voulais garder un souvenir de mon trajet en train. Je demandais gentiment si Edgard voulais se joindre à moi pour la photo. Il acquiesça et nous posâmes tout deux, l'un à côté de l'autre devant le train. Je contemplai alors la photo, celle-ci était réussite et ferais un formidable souvenir. Je montai par la suite dans le train et m'installa au fond du car. Etonnement Edgard s'asseyait à mon côté. Beaucoup de personnes avaient rejoins l'autobus et nous découvrîmes donc la plupart des jeunes qui allaient nous tenir compagnie durant le séjour. Bien sûr, ils n'étaient pas tous là et un bon nombre devait être déjà arrivé à destination.

 

Deux jeunes filles s'étaient installées devant moi et nous fîmes connaissance. Elles se prénommaient Charlotte et Solène. Elles me semblèrent très sympathiques et je sentis que nous allions bien nous entendre. Accompagnées d'Edgard nous discutâmes et rigolâmes pendant une grande partie du trajet. Celui-ci me sembla plutôt court et je fus surprise d'arriver aussi rapidement à destination. Plusieurs cars stationnaient déjà lorsque nous parvinrent à la colonie. Je ne pouvais pas encore décrire le lieu où j'allais passer ces 3 semaines car il semblait éloigné et les cars en cachaient une partie. Le véhicule s'arrêta et nous en descendîmes tous. C'est alors que je découvris une multitude de gens. Nous allions être nombreux semblait-il. Je décidais d'attendre avant de faire connaissance avec ces personnes et restai près de Charlotte et Solène, Edgard toujours à mon côté. J'aimais le savoir près de moi. Je ne le connaissais pas depuis longtemps mais j'appréciais vraiment sa présence, surtout dès lors que nous nous entendions. Un homme apparut subitement. Il s'agissait du directeur devinais-je en l'observant. Il se présenta et dis s'appeler Gérôme TALON. Bien entendu nous devions le nommer Gérôme, celui-ci préférait. De mon point de vue il était plutôt agréable et accueillant. Je le trouvais sympa. Il fit par la suite un petit discours sur ce qu'allait être le séjour et finit pas nous appeler chacun notre tour afin de nous attribuer une chambre. A l'annonce de mon nom je stressai, je ne connaissais pas grand monde et espérais me retrouver avec les filles que j'avais rencontrées plus tôt dans la journée. Ce fût le cas. De plus une quatrième viendrait combler notre chambre. Elle se prénommait Anna. Avant de nous quitter et de nous laisser rejoindre nos dortoirs le directeur annonça une petite soirée le soir venu afin que nous puissions faire tous plus ample connaissance. Tout le monde était ravi et c'est le sourire aux lèvres que nous rejoignîmes tous nos chambres. 

Samedi 12 juin 2010 à 12:29

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CHAPITRE VII

La Soirée

 

Je n'osais pas quitter Solène et Charlotte, c'est donc ensemble que nous rejoignîmes notre chambre. Edgard m'avait accompagnée jusqu'au hall, d'où il est était partit pour rejoindre lui aussi sa propre chambre. Nous restâmes un moment, devant la porte imaginant chacune notre tour à quoi pouvait ressembler cette fameuse pièce. Au bout de quelques hésitations, je fus celle désigné pour pénétrer la première dans notre antre. Je fus immédiatement ébahit. L'endroit était magnifique. Une splendide tapisserie rouge opaque, ornait l'ensemble des murs, d'immense lits étaient disposer joliment au cœur de la pièce, une énorme fenêtre recouverte de fils d'or donnait sur le jardin et une multitude de miroirs étaient éparpillés un peu partout. Enfin remise de mes émotions je décidais de ranger mes affaires, ce qui bien évidemment ne me prit pas plus de quelques minutes puisqu'il n'était pas question de dévoiler toute mon artillerie d'objet de survie aux filles, elle me prendrait pour une folle, il ne me restait donc plus qu'à caser le peu de vêtements que j'avais soigneusement emporté. N’ayant plus rien à faire, je décidais de me préparer pour la soirée de ce soir. Ce fut plus court que ce que le l''imaginais. En effet, malheureusement pour moi, ma valise était dépourvue de tenues de soirée, je n'y avais pas pensé puisque ça ne m'aurait été guère utile là où je pensais alors aller. Le temps passa très vite et l'heure de la soirée arriva. Mes nouvelles copines n'étaient pas très soirée tout comme moi, et ce fut donc ensemble que nous nous rendîmes à la soirée, histoire de nous soutenir mutuellement. De plus comme si cela ne suffisait pas, dépourvue de beau vêtements de fête, c'est munie d'un minable T-shirt surmonté d'un potable gilet marron et d'un vieux jeans, que je me rendue à la veillée. Tous ces vêtements m'auraient été utiles, si je m’étais retrouvée au milieu de nul part, à couper du bois, comme je me l'étais précédemment imaginé. Tout le monde devait me prendre pour une pauvre fille qui ne semblait pas être là où elle devait être. Mais je m'en fichais, cette soirée était sensé nous permettre de faire connaissance et cette tenue me permettrait de voir qu’elles sont les personnes vraiment gentilles et pas portée sur l'apparence pour choisir leurs amis.

 

J'affrontai donc sans peine les regards en coins, et rires chaque fois que j'osais me dévoiler. Anna retrouva son amie qui l'avait accompagnée durant le voyage. Elles partirent ensemble, je ne sais où, faire je ne sais quoi. Je me retrouvais donc en compagnie de Charlotte et Solène. Nous restâmes toute les trois à proximité du bar, écoutant silencieusement la musique battante. Puis brusquement il apparut dans mon champ de vision. Nos regards se croisèrent. Je ne pensais pas le croiser ce soir, il m'avait dit plus tôt, qu'il détestait ce genre de soirée et qu'il éviterait sûrement de s'y pointer. Il avait certainement changé d'avis. J'allais à sa rencontre quand subitement, une fille déboula entre nous deux. Je m'arrêtais net. Elle venait de l'embrasser sous mes yeux. Nous étions arrivés depuis à peine une journée et déjà ce pauvre imbécile sortait avec une nana. Je n'avais pas de chance, moi qui croyais qu'il s'intéressait à moi. J'avais été incroyablement stupide qui pouvait s'intéresser à moi, une pauvre fille même pas capable de se vêtir correctement. Je restais donc planter là, mon regard fixé sur les deux individus. La jeune fille, une grande blonde superbe se détourna d'Edgard et me dévisagea. Puis aussitôt, sans aucune retenue ni très grande discrétion, elle s'adressa à Edgard et lui demanda en me désignant, si il connaissait "cette pauvre fille". Celui-ci resta tout d'abord silencieux puis, après semble-t-il quelques moments de réflexion :

"_Non ma chérie, je ne connais pas cette pauvre fille."Lâcha-t-il alors à ma grande stupéfaction. Je ne le reconnaissais plus, il était redevenu l'être abjecte que j'avais côtoyé au début. Ne trouvant rien à répondre, je me sauvais encore, mais cette fois en pleurant. Je ne voulais pas rester une seconde de plus devant lui, il m'avait brutalement ridiculisé sans aucune raisons apparentes. J'étais anéantis et ne pouvant plus retenir une seconde de plus mon terrible chagrin, je me réfugiai dehors, et m'étendus sur le banc le plus proche. Cette soirée était affreuse, et je n'arrivais toujours pas à comprendre pourquoi il m'avait ainsi ignorée. Ferait-il parti de ces misérables personnes qui ne font attention à leurs amis qu'au travers de leurs apparences. C'était pitoyable de sa part et j'en regrettais presque d'avoir voulu être ainsi proche de lui. Ce gars ne faisait pas partit de mon monde, il était bien trop prétentieux et trop riche. Je décidais donc de le laisser tranquille, puisque apriori c'est ce qu'il souhaitait. Je restais là, solitaire contemplant les étoiles, les yeux emplis de larmes. Je fus soudain tirée de mes pensées quand une silhouette s'approcha de moi. Je ne pouvais discerner qui était cet individu. Je décidais de ne pas y faire attention, après tout je ne risquais rien, enfin c'est du moins ce que je pensais.a

Samedi 12 juin 2010 à 17:20

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CHAPITRE VIII

La Rencontre

 

L'individu s'était grandement rapproché de moi. J’entrevoyais encore à peine son visage mais celui-ci, j'en étais sûr, ne m'étais pas familier. Je devinais rapidement qu'il s'agissait d'un garçon mais je ne le connaissais pas, je m'interrogeais donc sur le pourquoi de sa venu vers moi mais ne je ne trouvai aucune réponses à mes questions. Il s'était enfin avancé suffisamment pour que je découvre son visage. Il était plutôt mignon, pensais-je sur le champ. Il me demanda gentiment si il pouvait s'asseoir auprès de moi ce que j'acceptais immédiatement. Il me révéla s'appeler Dean. A mon tour je me présentai et c'est ainsi que s'entama une longue conversation. Je fus tout d'abord curieuse de savoir pourquoi était il tout simplement venu me voir. Moi qui étais seule sur un banc. Il me répondit souriant que je le savais aussi cette soirée était faite pour faire connaissance. Il esquivait légèrement ma question mais sa réponse me suffisait. Cette fois j'avais à faire à un véritable garçon très sympathique et charmant. Celui-ci n’était pas bourré de "fric" et ne se permettait d'envoyer balader n'importe qui, quand ça lui chantait. Nous discutâmes ainsi pendant longtemps. Je l’appréciais, il m'écoutait, me faisait rire mais surtout il m'avait redonné le sourira et pendant quelques précieux instants, il m'avait fait oublier le pitoyable Edgard. Dean était vraiment un garçon super, incroyable. Il était tout simplement venu, sans arrières pensée, et m'avait gentiment réconforté alors qu'il ne me connaissait même pas. Arrivé minuit nous nous quittâmes à regret et je lui promis de le rejoindre demain, journée qui allait sûrement être magnifique.

 

Je n'étais plus triste et ne pensais presque plus à Edgard quand subitement en rejoignant ma chambre, je tombais sur cet imbécile. Je tentais de passer inaperçu et me faufilait le long du couloir. Mais malheureusement il m'aperçut et vain immédiatement à ma rencontre. J'étais décider à l'ignorer et accélérai le pas. Mais Edgard ne semblait pas partager mon avis et me rattrapa. Il s'empara de mon épaule et tira vivement dessus afin que je lui fasse face. Je tentais de m'enfuir mes il me tint par le bras et me traina dans une pièce déserte. M'enfuir m'était alors impossible et j'étais contrainte de l'écouter.

 

_"Charlie, tu veux bien m'écouter s'il-te-plaît ?

_Je m'appelle Charlène ! Objectais-je.

  Il sourit, mais je ne voyais vraiment pas ce qu'il y avait de drôle. De plus se                                                                       n'était vraiment pas le moment de m'énerver.

_Ne pourrais-tu pas tout simplement m'écouter et te taire.

_Tes belles paroles, j'en ai assez. Fiche moi la paix !

_Je ne te croyais pas aussi énervée. Répondit-il surpris.

_Tu imaginais quoi ? Qu'après m'avoir ainsi humiliée, je viendrais te    remercier.

Tu ne m'apprécies pas, tu as le droit, je ne le conteste pas mais s'il-te-plaît arrêtes de me faire croire que tu m'apprécie pour subitement m'envoyer balader quelques secondes après. Lui répondis-je sincère.

Il resta silencieux face à mes propos et mis du temps avant de reprendre la parole.

_ Je ne voulais pas te blesser. Avoua-t-il.

_Eh bien c'est raté. Lui répondis-je aussitôt.

_Je suis désolé. S'excusa-t-il enfin.

   ...Mais c'est compliqué. Enchaîna-t-il.

_Alors expliques moi !

_Je ne peux pas. Je suis sincèrement désolé...

_Je ne crois pas non. Tu t'en contre-fiche enfait mais tu t'es tout de même excusé, pour te donner bonne conscience, avoue le.

_...

_C'est bien ce que je pensais. Conclus-je enfin.

  Maintenant fiches-moi la paix et va retrouver ta superbe blonde qui te sert de petite amie.

_ Elle s'appelle Jennyfer. M'apprit-il.

_Très bien, alors vas retrouver TA Jennyfer et laisses-moi tranquille une bonne fois pour toute.

_Si c'est ce que tu veux.... Il, semblant abattu.


Son regard penné m'avais surprise mais je décidais de ne pas me laisser amadouer et quittai d'un pas décider cet univers désopilant

ALORS VOS AVIS ??!! ;-)

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